«Avant Assassin's Creed Origins, un serment fut conclu.
Egypte, en l'an 70 avant notre ère.
Un impitoyable assassin sévit. Sa mission : trouver et tuer les derniers membres d'un ordre ancien, les Medjaÿ, et mettre un terme définitif à leur lignée. Dans la paisible Siwa, le départ précipité du protecteur local laisse son jeune fils, Bayek, avec des questions concernant son propre avenir et le sentiment qu'il a un devoir à accomplir. Bayek part à son tour en quête de réponses. Son périple le conduit sur les ries du Nil, à la découverte d'une Egypte en ébullition. Il emprunt sans le savoir la voie des Medjaÿ, un chemin périlleux et truffé de mystères... »
Egypte, en l'an 70 avant notre ère.
Un impitoyable assassin sévit. Sa mission : trouver et tuer les derniers membres d'un ordre ancien, les Medjaÿ, et mettre un terme définitif à leur lignée. Dans la paisible Siwa, le départ précipité du protecteur local laisse son jeune fils, Bayek, avec des questions concernant son propre avenir et le sentiment qu'il a un devoir à accomplir. Bayek part à son tour en quête de réponses. Son périple le conduit sur les ries du Nil, à la découverte d'une Egypte en ébullition. Il emprunt sans le savoir la voie des Medjaÿ, un chemin périlleux et truffé de mystères... »
Je suis une fan
inconditionnelle de l’Egypte ancienne. De ce fait, j’étais persuadée que ce
livre me permettrait de voyager dans ce pays chargé de légendes et de mystères.
Ce fut pourtant une petite déception.
Bien que l’on voyage à
travers le pays, j’ai eu l’impression que la première moitié du roman n’avait pas du tout de but. Les premiers chapitres donnent l’impression que l’histoire
est désordonnée. On se lance sur quelque chose qui finalement n’aboutit
pas… Alors certes, les 150 premières
pages mettent en place l’histoire, on découvre des personnages, mais ceux-ci
sont vites éclipsés au point qu’on se demande s’il va y avoir un «héros »,
bref, c’est trop long. Finalement quand l’intrigue autour des Medjaÿ démarre tout
s’enchaine très vite et on ne prend presque aucun plaisir à découvrir cette
partie de l’histoire. Il y a parfois un cruel manque de description et il n’y a
pas vraiment de suspens… De plus, on n’a pas le temps de s’attacher aux
personnages.
Par rapport à Odyssey - ou l’action était bien plus présente - j’ai
vraiment eu l’impression que ce roman ne rendait pas service au jeu vidéo. Il
s’agit ici du préquel, certes, mais je ne vois pas ce qu’il apporte… Avec un
titre comme Origins, je pensais que
l’on découvrirait enfin les origines de la Confrérie des Assassins que l’on
retrouve par la suite avec son célèbre héros Altaïr… mais ce n’est pas le cas.
Cela dit, la plume de
l’auteur est intéressante, bien qu’un peu simple, elle a l’avantage d’être sans
fioriture. De ce fait le livre se lit plutôt vite.
Même si l’on voyage au
cœur de cités mythique (Alexandrie, Thèbes, l’île d’Eléphantin) qu’on suit la
course du Nil, je n’ai pas réussi à m’immerger dans ce livre et à me
« sentir » en Egypte.
J’ai préféré l’écriture
de Gordon Doherty, qui donnait peut-être un peu plus l’impression d’être dans
un jeu vidéo, mais qui rendait l’intrigue plus haletante.
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