Sybille est une jeune fille un peu étrange. Fascinée par la nuit, les grimoires de magies et objets un brin glauques, cette jeune collégienne mène néanmoins une vie très ordinaire.
Un jour, sa mère lui propose de l’accompagner dans un château, abandonné par les propriétaires, et qu’elle est chargée de vider. Folle de joie à l’idée d’arpenter les couloirs de cette vieille demeure chargée d’histoire, Sybille n’hésite pas une seconde. C’est là-bas, dans l’une des chambres de l’étage, qu’elle va faire une rencontre qui va chambouler sa vie.
J’ai découvert la plume de Vincent Tassy à travers ce court roman d’à peine 190 pages. Dans ce conte horrifique, on fait la connaissance d’Ophélia, une poupée de porcelaine oubliée dans un vieux château depuis de nombreuses années. Possédée par un fantôme aux intentions inconnues, on va découvrir, en même temps que Sybille, son histoire. L’intrigue est fluide, sans description à rallonge. Juste ce qu’il faut pour se faire happer dans cette histoire de fantôme, pleine de mystère et d’horreur. Les illustrations que l’on découvre au fil des pages sont toutes magnifiques et apportent une touche gothique à cette lecture.
Les personnages qui entourent Sybille sont tous attachants, notamment Philémon, son meilleur ami. Mais le personnage le plus marquant est sans conteste, Ophélia. Cette poupée, aussi belle que terrifiante, au passé chargé de noirceur et de douleur.
J’ai également beaucoup aimé le personnage de Sybille, décrite comme une jeune fille un peu en marge. Loin des « normes » que l’on attend d’une enfant de son âge, mais rien n’est exagéré.
J’ai apprécié que son personnage ne soit pas une caricature d’une gamine gothique à problème, on est très loin de ce cliché. Finalement tout est très juste et empreint de poésie.
Mais ce qui est encore plus poignant, c’est qu’à travers ce roman d’épouvante, Vincent Tassy aborde un sujet très important et extrêmement touchant. Une belle façon de faire réfléchir sur les différences et sur la tolérance.
J’ai découvert une plume pleine sensibilité et de douceur, mais capable également de me glacer le sang à travers les grands yeux violets d’Ophélia. Les personnages ne sont pas épargnés et le lecteur non plus ! Attention, ce n’est pas non plus un roman d’horreur à la Stephen King, mais cette étrange poupée possédée vous fera frissonner à coup sûr !
Je conseille sincèrement ce roman à tout le monde parce que son message s’adresse à tous et parce le talent de cet auteur mérite sincèrement d’être connu ! Et moi, je vais de ce pas rajouter son nouveau roman : Comment le dire à la nuit, à ma liste de Noël !
Un jour, sa mère lui propose de l’accompagner dans un château, abandonné par les propriétaires, et qu’elle est chargée de vider. Folle de joie à l’idée d’arpenter les couloirs de cette vieille demeure chargée d’histoire, Sybille n’hésite pas une seconde. C’est là-bas, dans l’une des chambres de l’étage, qu’elle va faire une rencontre qui va chambouler sa vie.
J’ai découvert la plume de Vincent Tassy à travers ce court roman d’à peine 190 pages. Dans ce conte horrifique, on fait la connaissance d’Ophélia, une poupée de porcelaine oubliée dans un vieux château depuis de nombreuses années. Possédée par un fantôme aux intentions inconnues, on va découvrir, en même temps que Sybille, son histoire. L’intrigue est fluide, sans description à rallonge. Juste ce qu’il faut pour se faire happer dans cette histoire de fantôme, pleine de mystère et d’horreur. Les illustrations que l’on découvre au fil des pages sont toutes magnifiques et apportent une touche gothique à cette lecture.
Les personnages qui entourent Sybille sont tous attachants, notamment Philémon, son meilleur ami. Mais le personnage le plus marquant est sans conteste, Ophélia. Cette poupée, aussi belle que terrifiante, au passé chargé de noirceur et de douleur.
J’ai également beaucoup aimé le personnage de Sybille, décrite comme une jeune fille un peu en marge. Loin des « normes » que l’on attend d’une enfant de son âge, mais rien n’est exagéré.
J’ai apprécié que son personnage ne soit pas une caricature d’une gamine gothique à problème, on est très loin de ce cliché. Finalement tout est très juste et empreint de poésie.
Mais ce qui est encore plus poignant, c’est qu’à travers ce roman d’épouvante, Vincent Tassy aborde un sujet très important et extrêmement touchant. Une belle façon de faire réfléchir sur les différences et sur la tolérance.
J’ai découvert une plume pleine sensibilité et de douceur, mais capable également de me glacer le sang à travers les grands yeux violets d’Ophélia. Les personnages ne sont pas épargnés et le lecteur non plus ! Attention, ce n’est pas non plus un roman d’horreur à la Stephen King, mais cette étrange poupée possédée vous fera frissonner à coup sûr !
Je conseille sincèrement ce roman à tout le monde parce que son message s’adresse à tous et parce le talent de cet auteur mérite sincèrement d’être connu ! Et moi, je vais de ce pas rajouter son nouveau roman : Comment le dire à la nuit, à ma liste de Noël !
Je partage totalement ton avis sur ce roman ainsi que ton enthousiasme. C'est ma première rencontre avec l'auteur et certainement pas la dernière.
RépondreSupprimerJ'ai également hâte de découvrir Comment le dire à la nuit... Il parait que ce tome là est encore mieux ! Autant dire qu'il me donne très très très envie pour le coup :D
SupprimerMerci pour ton commentaire ^^
Des bisous
Lily